Ca doit être fini

Qui vous l’impose?

Comment savoir ce qu’il faut faire ou pas, et le mettre en adéquation avec ce que je veux faire ou pas ?
Comment savoir si je dois faire ce qu’on me demande ou pas ?
Ai-je le droit de dire non ?
Qu’est ce qui est bon pour moi ?

Survivre pendant votre enfance.

Dans notre enfance, ce sont nos parents, nos enseignants, nos tuteurs, qui ont décidé pour nous. Ils nous protégé et guidé avec leurs croyances, leurs certitudes, leurs colères et leurs joies.
Nous avions besoin d’eux.
Ils ont fait comme ils pouvaient avec ce qu’ils étaient.
Aujourd’hui encore, nous avons besoin d’être aimé, entouré, reconnu, protégé.
Les schémas qui se sont mis en place dans notre enfance nous guident encore inconsciemment aujourd’hui.
Nous pouvons aussi être marqué par des évènements qui se sont produits quand nous étions dans le ventre de notre mère et que nous avons ressenti à travers elle.
Des faits marquants peuvent aussi traverser les générations par une façon de se positionner dans la vie, dans la méfiance, la peur, la colère, la tristesse, mais aussi dans la force et l’optimisme.
Ce n’est ni bien ni mal. Parce qu’aujourd’hui, nous sommes devenus adultes et nous pouvons prendre conscience de ce qui nous a construit en force ou en peurs.Et nous pouvons transformer nos peurs en force.  

Pour reconnaitre nos dépendances, nous pouvons nous retourner sur notre enfance et décrypter comment nos dépendances se sont mises en place.
Aucun bébé ne peut aller au réfrigérateur pour prendre de la nourriture. Ou dans la garde-robe pour obtenir des vêtements. Ou payer un loyer pour une habitation. Il y a donc une grande dépendance issue de la peur de ne pas avoir de nourriture, pas de vêtements pour nous réchauffer, pas d’endroit où être en sécurité.

 Le mécanisme de survie commence.

Dans l’utérus, nous étions en sécurité. La naissance est un traumatisme. Il nous a fallu tout apprendre pour survivre dans ce monde, et puis enfin vivre pleinement.

L’enfant n’a pas le choix. Il doit se plier à ce qu’on lui demande pour obtenir la sécurité du clan. Chaque fois que la personne qui a veillé sur nous a eu de la fatigue, de la tristesse ou de la colère, nous nous sommes senti en danger. Nous avons fait tout notre possible pour la contenter, la rassurer, la calmer. Ces moments où nous nous sommes senti en danger se sont inscrits en nous. Ils ont créé un schéma de croyance.
Aujourd’hui, chaque fois que nous croisons une situation qui nous rappelle ces moments, nous réagissons instinctivement comme nous l’avions fait enfant pour garantir notre sécurité.

C’est à chacun de reconnaitre ses schémas. Trop gentil avec la peur de dire non, ou bien trop réactif pour des situations qui ne sont pas graves ou bien avoir envie de disparaitre et oublier de vivre ou bien ne pas savoir trouver les mots au bon moment…
Dans notre vie d’adulte, il nous faut du temps pour se rendre compte que nous sommes prisonniers de nos schémas. Nous agissons par réflexe, par habitude, par flemme.
Jusqu’au moment où nous nous sentons mal. De plus en plus mal. Physiquement ou psychiquement, ou les deux, jusqu’à la maladie.

Nous cherchons alors des solutions.

Nous pouvons trouver des solutions d’urgence et de facilité, des pilules, de la chirurgie, de la chimiothérapie dans les cas graves. Ce sont les cas où nous n’avons pas voulu entendre à temps les messages de notre corps. Ces traitements sont parfois nécessaires, mais ils ne redonnent pas la force intérieur et durable.
Pour retrouver une énergie solide et fluide, cela demandent un peu plus d’efforts et de temps.  Mais le résultat vaut l’effort. Vivre une vie en accord avec soi-même dans la joie et en pleine santé, quel que soit l’âge.

Le Qi Gong est une voie vers cet avenir.

Cela commence par la prise de conscience de ses émotions, de ses actes, de ses réactions vis-à-vis des situations de la vie auxquelles nous sommes confrontés.

Qu’est ce qui nous touche ? Pourquoi ?

Cela peut faire peur d’aller sur ce chemin. Il nous faut parfois refaire monter à la conscience des moments difficiles que nous avons enfouis au fond de nous.
Si nous n’avons pas une idée consciente de ce que nous faisons, nous ne pouvez pas le changer.

Si nous reproduisons les mêmes schémas qui nous attachent,
nous obtiendrons toujours les mêmes résultats.

Souvent ceux qui nous font mal.
Pourquoi attendre d’avoir trop mal pour se libérer? Autant plonger dans nos vieilles peurs pour les nettoyer et, au bout du compte, nous aurons moins mal et moins longtemps.
On souffre plus d’avoir peur de la peur que de de la peur elle-même.
Le choix nous appartient. Nous pouvons lâcher prise et regarder.
Ensuite, travaillons sur ce que nous avons découvert de nous-même.
C’est plus facile à dire qu’à faire.

Mais nous avons un bel outil pour le faire: le Qi Gong.

La peur provoque des blocage d’énergie. C’est là que s’installe la maladie.
Le Qi Gong permet de débloquer le flux et l’énergie peut alors à nouveau couler librement de façon fluide.Grâce à des mouvements simples, on peut dissoudre les blocages. Lentement, nous pouvons remonter un à un les niveaux de conscience qui se sont refermées par strates.

Nous avons vu, dans un autre texte, que la science avait récemment démontré que la pensée entrainait de micro mouvements, qui pouvaient devenir crispassions et figer certaines parties du corps.
La médecine orientale a cette connaissance depuis des millénaires. De façon plus approfondi, elle enseigne comment le comportement, dont découle nos émotions, sont liés à nos organes et aux méridiens.
Grace à la connaissance de ces correspondances, la pratique du Qi Gong permet d’ouvrir les portes de la conscience.

La transformation

Des mouvements précis agissent sur des circuits précis qui vont détendre les crispations et ouvrir les portes de la conscience.  Strate après strate.
Cela peut parfois causer une douleur quand la crispation se détend et que l’émotion se relâche. Comme la circulation du sang dans les mains qui ont été engourdies par le froid.
Mais grâce à ce processus, nous nous libérons les schémas douloureux et notre vie se transforme, elle s’ouvre.Nous voyons notre comportement évoluer. Nos réactions ne sont plus irraisonnées. Notre vie se transforme. Nous restons sur le chemin qui est le nôtre. Il se peut que notre corps et notre esprit se révolte face à ce processus.

Il peut y avoir une grande résistance au changement.

Nous pouvons avoir peur de nous retrouver face à nous même, face à la honte, face à douleur des souvenirs qui remontent, face à la soumission dans laquelle nous avions trouvé refuge… Une multitude d’excuses vont se présenter pour contourner la porte qui s’ouvre. Des choses urgentes à faire, une situation financière inextricable, des proches à ne pas blesser…

Certaines personnes préfèrent s’enfoncer dans la maladie plutôt que de faire le passage.
Pourtant, quand le passage se fait, nous savons mieux organiser notre vie, les solutions apparaissent dans une vision plus claire et plus vaste, nous trouvons les bons mots pour parler à nos proches.

Je peux vous aider dans les moments de résistance grâce à ma formation.
C’est l’enseignement du Qi Gong.
C’est le moment de la transformation et du changement.
Le moment de guérison et de croissance.
Vous avez le pouvoir sur votre vie.

Je serais heureuse de vous faire découvrir cette voie.

Le voulez-vous ?
Tenez moi informée

Salutations chaleureuses
Linda

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